Ce qu'ils en pensent
Vous avez été très nombreux à réagir à la lecture du livre et vous en remercions.
Vous trouverez ci-dessous quelques-uns de ces témoignages...
« Je viens le lire les mémoires de Marie-Joseph Guétré que j’ai trouvé passionnants à plus d’un titre.
C’est un témoignage précieux d’un soldat cultivé, humaniste et plein de curiosité.
Et très lucide quant à l’état de l’armée impériale, impréparée et complètement désorganisée.
Etant messin, son récit des combats autour de la ville de Metz m’a particulièrement intéressé.
Ces hommes ont été conduits à l’abattoir par des dirigeants inconséquents et incompétents.
Ils étaient d’un courage que l’on peine à imaginer de nos jours.
Bravo pour votre démarche. J’ai passé un bon moment de lecture. Vous avez bien fait de publier ces
mémoires qui dépassent le simple cadre familial. Personnellement, je vous en félicite ».
Gérard S . (Metz)
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« J'ai bien lu et apprécié le carnet de notes de votre aïeul.
Son histoire nous donne des éléments concrets concernant cette période de l'histoire dont la région
garde encore de nombreuses traces.
Je suis impressionnée par le niveau d'écriture et de français et par les détails donnés.
On se rend bien compte aussi que la vie du soldat n'est pas faite uniquement de batailles mais aussi
d'attente et de nombreuses contraintes matérielles, comme la recherche de nourriture ».
Martine L. (Buding)
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« … j’ai eu un grand plaisir à le parcourir, et je vous remercie d’avoir pris l’initiative de le faire
paraître. L’Histoire (de France en particulier) me passionne, dont ce conflit, absolument méconnu de
nos compatriotes, pourtant cause originelle du premier, et donc du second conflit mondial.
Bref … Le récit de votre aïeul m’interpelle.
Déjà pour la grande qualité de l’expression mais aussi de l’orthographe, qui sont remarquables. Sans
parler de cette belle écriture, merci d’en avoir livré quelques extraits.
Sur le contenu, il y a sans doute des notes prises sur le vif, mais avec une rédaction parfois
postérieure, donc forcément avec un recul et donc une interprétation a posteriori d’événements
passés, avec leurs conséquences connues.
Je retiens le ressentiment envers Bazaine, personnage pour le moins trouble, et selon toute
probabilité, plus préoccupé par sa propre destinée que de celle de son pays. Pour le moins.
Plus personnellement, j’ai été interpellé par les évolutions entre Metz et Spicheren, puisque c’est un
peu ‘’chez moi’’.
Globalement, je suis impressionné par la qualité du récit d’un Français ‘’ordinaire’’ de cette époque.
Les ‘’Hussards de la République’’ allaient seulement arriver quelques années plus tard, pour éduquer
le peuple, or le niveau ici est déjà bien élevé.
Belle France.
Encore merci pour avoir pris l’initiative de faire paraître ce livre, du moins, l’amateur d’Histoire vous
remercie ».
Patrick K (Freyming-Merlebach)
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" Passionnant journal intime écrit par un jeune soldat breton qui raconte au quotidien sa guerre de 1870, depuis son voyage à pied de Paris à Metz avec son régiment puis, après leur reddition, sa captivité en Pologne. Une très belle écriture pour décrire les affres de la guerre. C'est de l'Histoire et ça se lit comme un roman ".
Louis Furic, Vannes
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Le livre est passionnant et prenant. Un véritable bijou !
...c'est plus qu'un livre...c'est un document...un témoignage
l'exemple de la qualité littéraire avec la maîtrise de notre langue, de la calligraphie. C'est magnifique.
Michel Le Moigne, Cartographe Metz
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"je le déguste comme un mets rare et délicat.
L’écriture manuscrite me fait rêver, c’est un plaisir de la lire, et puis il y a la syntaxe, éblouissant !
Quant au niveau historique, c’est une pépite.
J’ai beaucoup fréquenté la région de Metz et chaque étape me transporte sur le terrain."
Alain Richart, Colmar Recherches en généalogie
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"il nous apprend beaucoup de choses sur la vie des militaires partis au combat pendant sa captivité en Allemagne, chaque jour où presque il a écrit pour informer sa sœur Léonie.... C'est un très grand témoignage une magnifique écriture, ces lettres sont particulièrement belles et son écriture bien formulée. Leurs contenus sont dignes d'un prof de français.
Ce qui me frappe le plus, c'est la recherche continuelle de nourriture, leurs principales occupations outre le fait de se battre, il fallait trouver de la nourriture.... Ils avaient faim nos soldats, l'intendance ne suivait pas, c'est par leur propre moyen qu'il fallait trouver de la nourriture. Et quand ils étaient prisonniers, ils devaient travailler dans le froid, mal vêtus, mal chaussés, ils ont eu froid pendant cette année 1870/1871."
Chantal Cronier, Sète